Sculpture composite, cette œuvre transforme le véhicule en paysage, pour évoquer la dérive des formes et de la pensée.
L’amalgame apparent qui la constitue résulte d’une multitude de motifs (allant de l’intime au merveilleux) traduits chacun par une technique différente. Arrimée à l’entrée de l’exposition elle annonce dans un même mouvement la perte des repères et la recherche d’un point de fixation

exposition "à bout de bord" HEC 2010